Après trois étapes au Danemark et une journée de transfert, le Tour de France est de retour dans le nord de l’Hexagone, pour une étape de 171,5 km entre Dunkerque et Calais. Au programme, six côtes de quatrième catégorie et une arrivée taillée pour les puncheurs ou les sprinteurs.
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Il plane ! Il est trop fort ! Le Belge Wout van Aert (Jumbo) a réussi un coup de force dans la 4e étape du Tour de France qu’il a remportée en solitaire, mardi à Calais.
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Van Aert insiste dans la descente, le maillot jaune est en tête devant un petit peloton. Il a désormais 20 secondes d’avances à six km de l’arrivée. Va-t-il le faire solo ?
Ca risque d’être compliqué pour le coureur de Cofidis d’aller au bout. Anthony Perez a désormais moins d’une minute d’avance sur le peloton, à 24 kilomètres de l’arrivée.
Après un peu plus de 10 kilomètres tout seul, Anthony Perez a conservé sensiblement le même écart que lorsqu’il a lâché Magnus Cort, soit un peu plus d’une minute d’avance.
Parti au kilomètre 0, le Danois est repris par le peloton à 41 kilomètres de l’arrivée, après avoir pris tous les points qu’il y avait à prendre au classement des grimpeurs sur le parcours.
Le Français lâche Magnus Cort à 44 kilomètres de l’arrivée et file seul, alors que le duo de tête n’était plus qu’à un peu plus d’une minute du peloton. Pas de 12 sur 12 donc pour le Danois au classement des grimpeurs.
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Comme lors des trois précédentes bosses, Anthony Perez a laissé Magnus Cort arrivé en tête au sommet de la côte du Ventus. Le Danois remporte un nouveau point au classement des grimpeurs, le onzième, sur autant de points distribués depuis le début du Tour.
Même si le peloton devrait parvenir à les reprendre, c’est à deux que Magnus Cort en Athony Perez se présentent en bas la côte du Ventus, cinquième difficulté de la journée qui, comme les quatre précédentes, donnera un point au classement des grimpeurs à celui qui arrivera en tête au sommet. Pour l’instant, le Danois a systématiquement dominé le Français, qui ne s’est réellement battu que sur la première bosse.
Parti au kilomètre 0, le duo de tête formé par Magnus Cort et Anthony Perez est en passe de se faire reprendre par le peloton et dispose à présent de moins de deux minutes d’avance. Ce qui pourrait priver le Danois du grand chelem au classement du meilleur grimpeur, alors qu’il reste deux difficultés à franchir dans cette 4ème étape.
Ca fait dix pour Magnus Cort. Arrivé en tête de la côte de Harlettes (6% de moyenne), le Danois engrange son dixième point au classement des grimpeurs, sur autant de points distribués depuis le début du Tour. Encore une fois, Anthony Perez n’a pas contesté la première place.
En arrivant en tête au sommet de la côte de Nielles-lès-Bléquins – sans contestation de la part de Anthony Perez -, Magnus Cort continue son sans faute sur les premières bosses du Tour de France. Ca fait 9 points pour le Danois, sur 9 points attribués.
Les deux hommes de tête sont au pied de la côte de Nielles-lès-Bléquins, la troisième de la journée. Comme les deux premières, cette côte est classée catégorie 4 et donnera un point au classement des grimpeurs à celui qui arrivera au sommet en premier. Magnus Cort a dominé le Français lors des deux premières difficultés.
Magnus Cort et Anthony Perez ont avalé la moitié des 171,5 kilomètres de cette quatrième étape. S’ils perdent du terrain, les deux hommes disposent encore de 7 minutes d’avance sur les 174 autres coureurs du peloton.
Le Danois devance une nouvelle fois le Français Anthony Perez – qui n’a pas lutté – au sommet de la deuxième côte de l’étape, la côte de Remilly-Wirquin. Ca fait 8 points pour Magnus Cort au classement du meilleur grimpeur…sur 8 points attribués.
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Au terme d’un sprint à peine disputé, Fabio Jakobsen s’adjuge la troisième place et les 15 derniers points attribués par le sprint intermédiaire de Lumbres, à 108 kilomètres de l’arrivée.
Pas de véritable duel entre les deux hommes de tête au sprint intermédiaire de Lumbres à 108 kilomètres de l’arrivée. Gentleman agreement qui profite à Anthony Perez, devancé sur la côte de Cassel plus tôt dans la course, qui récupère 20 points. Magnus Cort récupère lui 17 points d’un classement qu’il ne joue pas.
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Le peloton s’est reformé peu après la cassure créée par le team Quick-Step-Alpha Vinyl. Et repasse au dessus des cinq minutes de retard par rapport aux deux hommes de tête, le Danois Magnus Cort et le Français Anthony Perez.
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Dans la descente du Mont Cassel, Quick-Step-Alpha Vinyl roule et casse le peloton. Les favoris Tadej Pogacar, Primoz Roglic ou Jonas Vingegaard sont dans la tête du groupe, tout comme David Gaudu ou Romain Bardet. Surpris, le maillot jaune Wout van Aert est rapidement lui aussi revenu.
Au sommet de la côte de Cassel, le peloton, tiré par Quick-Step-Alpha Vinyl, est repassé sous les 5 minutes de retard par rapport aux deux hommes de tête, Magnus Cort et Anthony Perez.
7 sur 7 pour Cort. Plus fort que Perez en haut de la côte de Cassel, le Danois s’est donc adjugé les 7 points du classement du meilleur grimpeur attribués depuis le début du Tour de France. Il est assuré de conserver le maillot à pois au terme de cette 4ème étape.
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Les deux hommes de tête entament l’ascension des pavés du Mont Cassel, où un point est à prendre pour le classement du meilleur grimpeur. Le maillot à pois Magnus Cort (EF Education-Easypost) paraît mieux armé pour cette première difficulté.
Le peloton a laissé filer Anthony Perez (Cofidis) et Magnus Cort (EF Education-Easypost), qui disposent désormais de plus de 6 minutes d’avance. Le Français est donc virtuellement en tête du classement général.
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7 kilomètres après le départ fictif, le départ réel de la 4ème étape du Tour de France 2022 est donné. C’est parti pour 171,5 kilomètres entre Dunkerque et Calais.
Le Belge, qui fête ses 40 ans ce mardi, livre son ressenti sur cette première étape dans l’Hexagone : « On est contents d’arriver en France, dans le nord on est toujours les bienvenues, c’est toujours sympa. C’est une belle étape qui peut être piégeuse, on voit qu’ici au bord de la mer du Nord il y a énormément de vent donc ça peut jouer un rôle important. »
« On sait qu’il y a des endroits difficiles sur les courses de la région, maintenant on est dans un cadre de Tour de France avec une course contrôlée, les conditions météo sont bonnes, c’est vrai que le vent souffle un peu, il risque d’y avoir une influence quand on sera en bord de mer du côté du Cap Blanc-Nez pour aller à Calais », anticipe le manager de la Cofidis.
Quant à l’issue de la course, « je pense qu’on va avoir une échappée qui va se dégager assez tôt dans la journée, contrôlée par les équipes de sprinteurs, et puis on devrait assister à un emballage final », prédit Cédric Vasseur. « Maintenant, qui sait si un homme de l’échappée ne peut pas résister au retour, c’est un scénario qui nous plairait avec des bons rouleurs », nous confie-t-il.
Le Danemark dans le dos, le peloton du Tour de France retrouve l’Hexagone pour une semaine redoutée par les leaders. Les quatre étapes à venir, de Dunkerque ce mardi, à la Super Planche des Belles Filles vendredi, offrent autant de terrains de jeux totalement différents qui devraient bousculer la hiérarchie. Car les parcours nt été dessinés par les organisateurs pour semer une sacrée pagaille dans la course.
Avec une moyenne d’âge qui dépasse les 33 ans, la formation israélienne Israël Premier Tech s’impose comme la plus « expérimentée » du peloton. À l’inverse, Romain Bardet, 31 ans, fait presque figure de vétéran chez DSM, tout comme Thibaut Pinot (32 ans) chez Groupama-FDJ. Et, si Philippe Gilbert fête ce mardi ses 40 printemps, la moyenne d’âge de son équipe reste pour autant raisonnable. Malgré la présence du vétéran du peloton parmi les huit coureurs retenus pour ce Tour de France 2022, la Lotto-Soudal se classe au 13e rang des équipes les plus âgées du peloton (29,28 ans de moyenne).
Première occasion pour les puncheurs, la 4e étape du Tour de France visite mardi les monts des Flandres et du Boulonnais, entre Dunkerque et Calais, sur un parcours long de 171,5 kilomètres. « Les côtes ne sont pas insurmontables », estime le directeur de course Thierry Gouvenou. « Mais le placement sera primordial, car il y a très souvent du vent dans le Pas-de-Calais et les monts des Flandres ».
Six côtes, toutes classées en quatrième catégorie, sont échelonnées sur le parcours, qui épouse le tracé côtier sur les 25 derniers kilomètres. « On peut s’attendre à un final très dynamique », annonce le directeur de course avant l’arrivée jugée dans la sous-préfecture du Pas-de-Calais où les sprinteurs peuvent également viser la victoire.
source: Est Républicain