Au lendemain du contre-la-montre dans les rues de Copenhague remporté par le Belge Yves Lampaert (Quickstep), le peloton entame sa deuxième étape au Danemark ce samedi et s’élance pour 202,2 kilomètres entre Roskilde et Nyborg. Une étape périlleuse avec le pont du Grand Belt et ses 18 kilomètres en juge de paix.
Alors que les coureurs progressent vers le final et le pont du Grand Belt long de 18 kilomètres, le vent souffle sur cette portion. Pour rappel, les coureurs prendront le pont par la gauche, à contresens, avec un vent de trois-quart face
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Cyril Barthe et Pierre Rolland sont désormais 1’18 » du duo de tête. Les deux Français ne semblent pas vouloir se relever et roulent en solitaire à deux minutes du peloton. Tactique plutôt risqué…
Quelle belle image ! Devant son public, le Danois lève les bras sur le troisième col avec un troisième point qui conforte un peu plus son maillot à pois. Bystrøm n’a même pas cherché à lui contester.
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Il y a désormais plus de 20 secondes d’écart entre les deux coureurs de tête et les deux Français de B&B. Situation très inconfortable pour Barthe et Rolland, même s’ils comptent encore 3 minutes d’avance sur le groupe maillot jaune.
Le coureur danois de l’équipe EF Education dépose Pierre Rolland et Cyril Barthe dans la montée, avant d’envoyer des grands coups de pédales pour prendre le meilleur sur Erik Bystrøm. Les deux en tête ne se relèvent pas et prennent de l’avance sur les deux Français, piégés.
On tourne autour de 1’40 » d’avance pour les quatre coureurs en tête : Pierre Rolland (B&B), Cyril Barthe (B&B), Sven Erik Bystrøm (UAE) et Magnus Cort Nielsen ( EF Education-EasyPost).
Deuxième jour et première embûche sur le Tour de France: le double pont du Grand Belt samedi et ses 18 kilomètres au-dessus de la mer promettent une journée de tension dans le peloton, y compris pour Tadej Pogacar, déjà piégé par le vent en 2020.
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Les sprinteurs, à l’instar de Caleb Ewan (Lotto-Soudal) ou Dylan Groenewegen (BikeExchange) accélèrent dans le peloton et reprennent quelques secondes sur l’échappée.
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Cort Nielsen (EF), Bystrom (Intermarché-Wanty-Gobert Matériaux), Rolland et Barthe (B&B Hotels-KTM) composent la première échappée de cette étape. Déjà 1’50 » d’avance sur le peloton.
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L’état d’esprit : « Tout le monde est inquiet aujourd’hui. Mises à part les grosses armadas qui ont l’habitude de maitriser le peloton comme Ineos ou Jumbo. Après, il ne faut pas refuser le combat, composer avec avec les aléas, ça sera une grosse bataille. »
Ben O’Connor : « Les sensations n’étaient pas extra hier pour Ben (O’connor), il n’a pas pris de risques. De notre côté on ne l’a pas poussé à en prendre. On préfère qu’il perde 40 secondes et qu’il n’y ait pas de pansement. Il n’y a rien de rédhibitoire. »
Les bordures : « En ce qui concerne les bordures, chaque coureur est bien informé, les zones sont identifiées. Ce qui fait la différence, c’est le rapport de force, la puissance collective ainsi que la détermination des groupes. »
Bob Jungels : « Depuis le Tour de Suisse, Bob (Jungels) revient à un bon niveau. Bob a montré qu’il était présent, il revient au niveau auquel on l’attendait depuis un an et demi. Il a notre confiance. »
« On veut faire en sorte que la bordure se passe au centre du pont. On ne veut pas faire peur aux coureurs, il faut savoir qu’on monte quand même à 60m au-dessus de la mer. Si certains voient le précipice, ils ne seraient pas à l’aise pour faire du vélo. On a aujourd’hui un vent de sud-ouest, on prendra donc les voies de gauche sans s’opposer à la circulation. »
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Pendant ce 109e Tour de France, Victor Lafay, le grimpeur haut-savoyard de l’équipe Cofidis qui vit sa première Grande Boucle, nous fait partager ses émotions et ses espoirs tout au long de ces trois semaines de course.
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Au lendemain du contre-la-montre dans les rues de Copenhague, le peloton reste au Danemark ce samedi et s’élance pour 202,2 kilomètres entre Roskilde et Nyborg. Une étape de tous les dangers, où le vent et la nervosité seront deux facteurs déterminants dans le déroulement de la journée.
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source: L'Alsace.fr